L'histoire très belle et très sombre de Bartafuite

Dans le cadre de Périples, moments vivants autour du conte, partons en expédition au travers des histoires !

« Un jour, dans un fracas énorme, Bartafuite est parti. Il a pris la porte, s’est enfoncé dans la forêt. Moi je l’ai suivi, pendant des jours. J’étais caché et j’ai tout vu. Alors je raconte… ».
Une lecture-spectacle dont la mise en scène très simple laisse toute la place au texte, accompagné d’un violoncelle. Il n’y a rien à regarder d’autre, ou presque, que les mots énoncés par le conteur. De ces mots naissent des images dans le secret des corps des spectateurs, en partage avec le corps du comédien. Il y a autant d’imaginaires que de personnes assemblées. De cette même manière, les dessins apparaissent comme autant de mystères à deviner. La musique accompagne le texte, nous assistons à un véritable dialogue entre le comédien et le musicien. Les cordes du violoncelle vibrent, emplissent l’espace, apportent parfois un contrepoint au texte.

Une ba(l)lade onirique et poétique dans un univers étrange, à la poursuite de Bartafuite. La très belle et très sombre histoire de Bartatuite, « belle parce que c’est beau. Sombre parce qu’il faut la nuit. »

Presse :

Une lecture spectacle dont la mise en scène très simple – une lampe chaleureuse, une chaise, des feuillets posés au sol – laisse toute la place au texte (…). On se retrouve embarqués un peu à l’aveugle dans un univers étrange, où l’on croisera des personnages farfelus, dans des lieux mystérieux, et, surtout, des mots qui se répondent et que l’auteur tord et distord pour en faire résonner toutes les nuances et les correspondances. M. Feron, Le Suricate Magazine